Robert Martin : "Le quatrième logo de la franchise Poitevine est enfin arrivé. Ce dernier a été livré par Orzo City Corporation, la société de l'équipe des Raiders, une concurente directe de la société Lam & Zer, spécialisée dans la création de logos de franchise Ultraballienne et double vainqueur du COQ BLUE avec son fameux logo des Killa Clowns : "

Robert Martin : "Orzo assoit ainsi un peu plus sa position de deuxième société créatrice de logos UB derrière celle de Lamanzer. Mais la concurrence monte vite, avec Wien Logo Foundation (?), une autre société créatrice de logos UB, dirigé par Herminator, et qui vient de livrer un beau bijoux aux écossais de Kilmarnock : "

Robert Martin : "Mais avant tout, à quelques mois de l'ouverture du 3ème concours du plus beau logo d'Ultraball, voici enfin, en vrai, pour vous et vous seul, en direct live du stade de la pépinière, le fameux logo UB des Dragstarz de Poitiers : "

Robert Martin : "Magniiiiiifiiiiiiique !!!! N'est-ce pas Mr Delatour ?"

Jean-Noël Delatour : "Extraordinaire, félicitation Mr Orzo ! et bonne chance au coach Mamad pour le prochain concours..."

Robert Martin : "Oui coach Mamad, croyez-vous cette fois-ci en vos chances ?"

Coach Mamad : "Oui Oui, nous esperons recevoir un minimum de vote cette fois-ci, pas comme le 0 pointé des deux derniers concours ! :("

Robert Martin : "Ce logo va-t-il changer vos objectifs de fin de saison ?"

Coach Mamad : "Il ne faut pas abuser non plus. Un logo n'a jamais fait gagner une équipe... Nos objectifs sont toujours les mêmes, à savoir privilégier la formation et la recherche."

Robert Martin : "Merci coach. Mr Delatour, avez-vous enfin pris une décision sur l'affaire du logo des Killa Clowns ?"

Jean-Noël Delatour : "Il participera ! Soit avec le logo actuel, soit avec un des deux autres logos qu'il a en reserve. Mais je confirme qu'il participera, le sondage plaide largement en sa faveur ! voilà tout"

Robert Martin : "C'était Robert Martin, journaliste pour le Poitevin Web, vous étiez en direct du stade de la Pépinière. Merci et Bonsoir..."

Robert Martin