Ce que tout le monde prédisait s'est produit ; Après un départ tonitruant, l'équipe de Poitiers s'est complètement effondrée. Actuellement 8e de Platinium, l'équipe ne sera sauvé que si elle gagne un de ses deux derniers matchs. Nous avons rencontré le coach de Poitiers pour nous expliquer cette subite descente aux enfers.

Robert Martin :  Coach, bonjour.

Coach Mamad : Bonjour Robert.

RM :  C'est pas la forme hein !

CM :  Non, pas vraiment, mais on le merite bien. On n'a pas été capable de gagner un match depuis Belfast.

RM :  D'où vient cette subite baisse de forme ?

CM :  Déjà je savais, qu'à un moment ou un autre, on baisserait le pied, mais pas au point de ne plus gagner un seul match. La faille se situe après les deux matchs contre Belfast et Milwaukee. Face à ces deux équipes très physique, Calleja et Suppiah, nos deux cerveaux du groupes, ont lâché prise. A partir de là, nous avons joué le Love Train lors des trois derniers match contre Beyrouth, Auckland et Anchorage. Et force est de constater que le Train ne paie plus en Platinium.

RM : C'est énorme ce que vous dites. Posséder l'arme ultime que toute équipe jouant le Love Train aimerait avoir et ne pas pouvoir gagner avec, ça fait mal !

CM :  [Enervé] Oui et j'envisage de la vendre, la fameuse arme ultime ! Mais nous allons y réfléchir en comité et la décision sera prise rapidement. Si vente il y a, vous verrez Terminator lors du prochain tour sur la liste des transferts, sinon, c'est qu'il en aura été décidé autrement.

RM :  Sans lui c'est la descente en Golden assuré ?!

CM :  Mais avec lui, et sans cerveau pour assurer les tactiques autre que le Love Train, bah c'est la descente assuré aussi. On a mis Suppiah sur le billard pour qu'il revienne plus costaud, mais lui et Calleja étaient déjà dans un état assez grave. D'ailleurs, ils ne sont pas complètement remis de leurs blessures. Mais on a besoin d'eux pour faire un résultat contre Kiev.

RM :  Et l'avenir de la franchise passe par quoi ?

CM :  Par un recrutement plus ciblé cerveaux pour permettre à Gamboa de montrer tout son talent. Mais essayons d'abord de ne pas faire le même coups que Caracas l'année passée.

RM :  Je vous remercie Coach Mamad, et bonne chance pour la fin de saison.

RM